La semaine dernière, le Stade de France et la Fédération Française de Rugby ont annoncé la signature d’une nouvelle convention portant sur l’utilisation du stade jusqu’en 2025.
Au total, le nouvel accord trouvé porte sur l’accueil de 36 matchs au minimum sur les 7 saisons à venir, entre le 1er juillet 2018 et le 30 juin 2025. Une annonce qui intervient alors que le projet de Grand Stade de la FFR est tombé à l’abandon depuis l’élection de Bernard Laporte à la tête de la fédération.
Dans le détail, les matchs devront comprendre les matchs du Tournoi des 6 Nations, les rencontres de la tournée de Novembre contre la Nouvelle-Zélande, l’Australie et l’Afrique du Sud, des matchs de préparation à la Coupe du Monde, ainsi que les finales du TOP 14. A noter que les rencontres de la Coupe du Monde 2023 ne font pas partie du contrat.
Pour rappel, la précédente convention signée sur 2013-2017 portant sur une vingtaine de rencontres s’élèvait à 23 millions d’euros de location pour la FFR selon « Midi Olympique » (soit 1,15 millions d’euros par match).
« En complément de ce contrat, une convention tripartite FFR – CSDF – LNR définit les dispositions spécifiques liées aux finales du TOP 14, dont l’organisation est confiée à la LNR conformément à la nouvelle convention FFR – LNR. » ajoute le communiqué.
« Des réflexions conjointes ont été initiées avec la FFR afin d’étudier les conditions pour rénover le Stade de France et en faire l’un des stades les plus modernes au monde »
« Cet accord offre une visibilité sur les sept prochaines saisons et permet à la FFR de construire une stratégie à long terme pour le développement du rugby. Grace à cet accord, le rugby aura une place de choix dans la plus grande enceinte sportive de France » a commenté Bernard Laporte, président de la FFR.
En accueillant les matchs du tournoi des 6 nations, les principaux matchs des tournées d’Automne et les finales du TOP 14, le Stade de France s’affirme comme le théâtre des plus grands événements du rugby français. C’est dans un même état d’esprit partenarial que des réflexions conjointes ont été initiées avec la Fédération Française de Rugby afin d’étudier les conditions pour rénover le Stade de France et en faire l’un des stades les plus modernes au monde, au service de l’ambition de la France et du rugby français pour les 20 ans qui viennent » a ajouté Pierre Coppey, président du Consortium Stade de France.
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