Partenaire du Stade de Reims cette saison, la marque de chewing-gum énergisant OneGum a décidé de mettre en scène le club dans une vidéo promotionnelle parodiant la célèbre publicité de Volvic avec Zinédine Zidane.
Dans le vestiaire du Stade de Reims, avant chaque match, c’est toujours les mêmes gestes…
« L’idée du scénario est venu de notre agence Reflets Vidéo à Lille, nous avons tout de suite été séduit par l’idée ne souhaitant pas trop nous prendre au sérieux de manière générale » nous précise Ludovic Rachou, Associé-Fondateur de la marque OneGum. « Le Stade de Reims est notre partenaire principal et le seul à qui nous payons des droits d’image. Avant de signer ce partenariat nous avons pris le temps de rencontrer tout le staff et les joueurs dont l’esprit colle vraiment à notre marque : performance et motivation sans trop se prendre au sérieux ! »
Le précédent Chabal
En parodiant la publicité de Volvic avec Zizou, OneGum s’attaque à un « monument » des spots qui ont marqué les esprits.
Il y a quelques années, c’est Sébastien Chabal qui s’était mis en scène pour la bonne cause (1001 fontaines) avec sa version du « D’abord la jambe gauche, toujours… puis la jambe droite »).
« Le Stade de Reims est notre partenaire principal et le seul à qui nous payons des droits d’image »
Promu cette saison en Ligue 1 Conforama, le club champenois est actuellement 6ème du Championnat. Une bonne publicité pour la marque qui vise 1 million d’euros de chiffre d’affaires en 2019. « Nous fournissons plusieurs clubs de manière directe, en vente de produits, tels que Guingamp, Troyes, Nantes ou encore la FFF depuis 2016 ! De nombreux joueurs de ces équipes en mâchent, je sais que Blaise Matuidi est celui qui en avait réclamé au staff de la FFF après l’EURO 2016, et que Mbappé en utilise également, nous fournissions l’AS Monaco à l’époque où il a explosé. »
Aujourd’hui, la marque OneGum est distribuée en France chez Franprix, Monop, Carrefour ou dans les stations-services Total. Cet été, la marque s’était fait remarquée avec une campagne d’affichage dans le métro parisien surfant habilement sur la Coupe du Monde 2018 pendant la compétition. « On a fait le pari de prendre des pubs dès la première semaine de la Coupe du monde. Les annonceurs sont plus sceptiques, car, en cas d’élimination française, ça peut tourner au mauvais buzz. Là, ça nous a souri. » précisait Ludovic Rachou aux Echos suite à la seconde étoile décrochée par les Bleus.
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