En fin de semaine dernière, le coq sportif a officialisé la signature d’un contrat équipementier avec la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT)
Dans le cadre de ce nouvel accord, le Cameroun arborera le maillot frappé du coq pour la première fois en compétition le 10 juin contre le Canada à l’occasion de la Coupe du Monde Féminine France 2019. Quelques jours plus tard, l’équipe masculine portera le nouveau maillot en Egypte pour la Coupe d’Afrique des Nations.
« En 1982, la marque française de sport était déjà aux côtés de la Fédération Camerounaise de Football. L’équipe nationale participait alors à son premier événement international majeur, avec une sélection jusqu’à présent considérée comme la plus emblématique de son histoire, le coq sur la poitrine. En effet, c’est l’équipe de la Coupe du Monde de 82 qui a permis aux Lions Indomptables de se créer un nom sur la scène internationale. » précise le communiqué de la marque.
Aux côtés des « Lions Indomptables », le coq sportif va prendre la succession de Puma. « le coq sportif nous a fait une proposition nettement supérieure à celle que Puma nous a faite récemment pour le renouvellement. Il faut signaler que Puma avait divisé par trois ce qu’elle nous offrait auparavant » a précisé Seidou Mbombo Njoya, Président de la Fédération Camerounaise de Football, lors d’une conférence de presse. « Le contrat avec Puma est arrivé à échéance en décembre dernier, bien qu’il y’avait une possibilité de le renouveler avant échéance. En février dernier, nous sommes arrivés au point de non-retour et il était de notre devoir de trouver un autre équipementier pour nos équipes nationales ».
crédit : FECAFOOT
Un retour du coq célébré par Yannick Noah, plus qu’ambassadeur de la marque, sur les réseaux sociaux.
@lecoqsportif @FecafootOfficie
Retrouvez-moi sur #Instagram @yann_yeahyeah pic.twitter.com/YemEDzklEU— Yannick Noah (@NoahYannick) April 18, 2019
Equipementier du Cameroun depuis 1998, Puma aura marqué les esprits avec quelques maillots qui ont fait parler, comme celui sans manches édité en 2002.
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