À 46 ans, Grégory Ascher enchaîne la matinale sur RTL2 puis L’Équipe de Greg en fin d’après-midi sur la chaîne L’Équipe. Il estime avoir atteint, aujourd’hui, un épanouissement total dans son métier.
Dans notre interview à lire ci-dessous, « Greg » nous a parlé de son rythme de vie intense et de sa vision du métier. Entre musique, sport et divertissement, il aime ce qu’il fait et ça se sent !
« En dehors de ma femme et de mes enfants, la radio, c’est l’amour de ma vie ! »
SportBuzzBusiness : Radio le matin (6h-9h30) sur RT2 avec « Le double expresso » et télévision l’après-midi (17h15-19h30) sur la chaîne L’Equipe avec « L’Equipe de Greg »… Ça ressemble à quoi votre journée type ?
Grégory Ascher : On essaye d’optimiser le temps au mieux ! Ce rythme là, je l’ai choisi, je suis très actif en permanence, ce n’est absolument pas le moment de se plaindre ! Je me lève à 4h30 tous les jours, parfois à 4h45… ça dépend quand ça pique un peu. J’arrive à la radio vers 5h30, normalement l’émission est prête de la veille, on a travaillé avec l’équipe, mon coordinateur d’antenne et ma co-animatrice. On prend un café, on se prépare, on se réveille tranquillement et à 6h, nous sommes à l’antenne jusqu’à 9h30. De 7h à 9h, l’émission est co-diffusée en télé sur W9 donc c’est encore une concentration supplémentaire, des regards caméra alors qu’on fait aussi de la radio. Après l’émission, généralement, je reste un peu pour un debrief ou un rendez-vous à la radio.
Après, je prends le périph et j’arrive à L’Équipe. Là, je prépare mes thèmes pour la conférence de rédaction qu’on peut faire parfois à la radio. La conférence de rédaction est à 11h. Je me retrouve avec mon chef d’édition et tous les journalistes qui travaillent pour l’émission et qu’on voit à l’antenne comme Julien Aliane ou Raphaël Sébaoun et puis Alicia Dauby en temps normal, mais là avec son congé maternité, c’est Camille ou Virginie. Il y a 7 ou 8 journalistes qui travaillent sur la construction de l’émission, tout ce que vous verrez à l’image. Les synthés, les statistiques, les images, toutes ces choses-là, ça dure à peu près trois quart d’heure, 1h.
Ensuite, vers midi, je rentre pour déjeuner en famille. Je vais aussi promener mon chien, ça m’aère. Ça, c’est bien, c’est ma pause ! Les jours où je suis fatigué, je fais une micro sieste de 12 minutes, ou sinon rien. Et puis je repars en début d’après-midi à L’Équipe et là, je crée les jeux. Je n’utilise pas d’ordinateur, je suis complètement geek mais je n’écris aucun texte donc je n’ai pas de fatigue oculaire. À 16h15, je vais me maquiller, on fait une dernière relecture rapide de l’émission, des thèmes. Après, je parle avec les chroniqueurs, l’ambiance de plateau monte pour que ce soit le plus détendu et le plus cool possible. Et puis à 17h15 début de l’émission jusqu’à 19h37, 38… après je me démaquille, bisous au revoir tout le monde et je suis chez moi dans la foulée !
SBB : Des journées bien chargées donc…
GA : Oui, ce sont des journées remplies, mais qui sont excitantes, qui sont passionnantes, qui sont riches, qui sont variées ! Même si la mécanique est la même chaque jour, le contenu est différent dans toutes les émissions et puis je fais ce que j’aime ! Sport, divertissement, musique alors que l’actualité est tellement morose, c’est tellement joyeux, c’est tellement un kiff de pouvoir faire ça ! On ne se plaint surtout pas.
SBB : Vous-vous sentez épanoui dans votre métier ?
GA : Très, très épanoui ! J’ai la chance d’avoir deux très bons groupes qui me font confiance, j’ai la chance d’avoir deux quotidiennes. Une matinale radio qui réunit plus d’un 1,2 million d’auditeurs chaque matin et qui est co-diffusé aussi en télé. J’ai la chance d’avoir un talk en access prime time sur une chaîne de sport, avec des audiences qui progressent, c’est formidable. Ca a été beaucoup de travail avant et j’ai quand même déjà 46 ans, mais on me fait confiance, je suis allé chercher tout ça et l’épanouissement est total !
« Petit, je disais toujours « je veux être journaliste sportif ! » »
SBB : Quel a été votre parcours scolaire et votre parcours professionnel auparavant ?
GA : J’ai eu un bac littéraire, ensuite, j’ai eu un DUT de publicité. J’ai commencé la radio à la fac de Bordeaux 3 sur la radio universitaire. J’ai été repéré par la radio locale Wit FM qui était la radio des Girondins de Bordeaux et je suis resté 6 ans. Je suis rentré en tant qu’étudiant avec une nuit par semaine, celle du vendredi. J’avais cours toute la journée du samedi donc j’étais déjà habitué à ne pas dormir. Puis j’ai eu la matinale du dimanche… l’année suivante, j’ai signé un contrat avec Wit pour ne faire que de la radio, donc je n’ai jamais fait de la publicité en dehors de mes cours théoriques ! J’ai été speaker du stade aussi, j’ai appris à faire des interviews de sport, de musique d’hommes politiques parce que c’était mi-généraliste, mi-musicale, c’était une expérience formatrice comme aucune autre ne pouvait me la donner.
Et puis je suis arrivé à RTL2, c’était mon choix. C’était vraiment là où je voulais aller, j’avais 2 autres propositions, mais c’était vraiment le groupe et la radio où je voulais aller. Je suis arrivé par la petite porte en faisant les nuits. Et puis j’en suis sorti assez vite, j’ai fait les week-ends, j’ai créé le drive à 16h et puis j’ai eu la matinale que j’ai maintenant depuis presque 8 ans. Après en télé, une fois que la radio était lancée, j’ai participé au lancement d’une chaîne de télé qui s’appelait JET par le groupe TF1 qui a été un four absolu ! Ils pensaient que ça allait marcher, mais ça n’a pas marché. J’ai fait un break parce que j’ai choisi d’élever mon fils. Après, j’ai commenté du poker, que j’adore, pendant 5 -6 ans. Et puis après j’ai eu l’opportunité de présenter le Loto en remplacement de Cyril Féraud. De là, on m’a proposé le Bachelor. Et après 2 saisons de Bachelor en prime time pour le groupe TF1, je me suis posé tout seul et je me suis dit « en radio ça tourne, en télé, tu veux faire quoi ? » Et je voulais aller vers ce que j’aimais vraiment, c’est-à-dire le sport. Voilà comment je suis arrivé sur I-Télé avant d’être recruté par L’Équipe, chroniqueur dans « L’Équipe type » puis chez Estelle et avec ma propre émission maintenant.
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SBB : Vous vouliez être journaliste sportif depuis le début ou est-ce que vous vouliez travailler dans la publicité ?
GA : Quand j’étais petit et qu’on me demandait « qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? » je disais toujours « journaliste sportif ! ». C’était mon rêve, mais j’ai été happé par la radio où je me suis retrouvé à parler beaucoup plus de musique sur Wit. Les concerts, les présentations sur scène, parler des heures d’une construction d’album… Tout ça m’a beaucoup plu et donc j’ai bifurqué vers le divertissement qui est tout sauf un gros mot et je me suis régalé ! J’ai toujours dit que je voulais faire ça, mais je pense qu’il n’y a pas de règle écrite de ce qu’il faut faire ou ne pas faire. La pub, c’était parce que j’estimais être assez créatif avec du bagout et ça collait pas mal. Je n’étais pas très déterminé en étude, j’ai tenté un peu de droit, c’était un peu trop strict pour moi, mais j’avais bifurqué vers ça pour aussi avoir de l’espace pour faire de la radio à côté.
SBB : Justement, en parlant de règles, quels conseils donneriez-vous à un jeune journaliste qui veut s’imposer dans le métier ?
GA : C’est toujours facile de parler après coup, mais ce que je dis toujours à ceux qui sont en stage à la télé ou à la radio avec moi, c’est évidemment de ne pas avoir peur des horaires. J’ai 46 ans et c’est maintenant ou depuis quelques années que ça tourne vraiment a plein régime. Il faut accepter de faire des heures de nuit, de se dire que ça va prendre du temps. Faut apprendre, bouffer du micro ! Moi, j’ai eu quelques années sans vacances, c’est mon choix ! Je ne dis pas qu’il faut suivre ça, je n’ai pas de clés, mais c’est sûr que c’est pas mal de sacrifices et savoir ce qu’on veut vraiment. Moi, j’ai toujours été hédoniste, j’ai toujours essayé de rechercher mon bien-être, des choses que j’aimais faire. Je voulais être épanoui et ça passait par des énormes périodes de travail comme en ce moment. Il y a d’autres moments où faut être capable de couper aussi. Il faut y aller à 100%, il faut être curieux et s’intéresser à tout. Moi, j’ai la prétention de croire que je m’intéresse à beaucoup de choses, ça peut être l’espace, ça peut être le sport, là par exemple pendant le covid, je voulais comprendre. Je pense qu’il faut essayer de s’intéresser à tout, comprendre un maximum, ne pas se laisser berner et puis travailler, travailler et travailler !
SBB : Vous êtes passionné de football américain, que vous animez parfois sur la chaîne L’Équipe, d’où vous vient cette passion ? Est-ce qu’elle est uniquement pour le foot américain et la NFL ou plus généralement pour les sports US ?
GA : Non mais j’aime tous les sports ! Je peux me laisser captiver par n’importe quel spectacle sportif à la télé ou dans un stade. C’est l’essence même du sport qui me plaît, les sensations que ça procure. Pour le foot US, c’est un amour de jeunesse. J’ai connu ça en regardant les premiers Super Bowl sur Canal+ avec George Eddy et Philippe Chatenay, les premiers articles dans le journal L’Équipe sur Joe Montana et comme j’ai toujours aimé les États-Unis, les très beaux côtés des États-Unis, ça a matché. C’est un pays que j’adore où je me rends régulièrement, je trouve qu’ils ont une démesure, une passion pour ça qui est folle. La place du sport est essentielle, alors bien sûr, il y a plein de mauvais côtés, mais pour ça, je les aime. Donc c’est tout naturellement que je me suis orienté vers ce sport que j’ai toujours suivi. Je me suis amouraché d’une équipe, les Eagles de Philadelphie, parce que c’est vert, parce que Philadelphie est une de mes villes préférées… J’adore et je suis très heureux de pouvoir présenter la NFL et le Super Bowl depuis 3 ans sur la chaîne L’Équipe.
« Estelle avait posé de très belles bases… L’idée, c’était surtout de ne pas tout casser pour plaisir de casser par ego »
SBB : D’ailleurs, le contrat devait s’arrêter en 2023, est-ce qu’il y a des discussions pour prolonger ?
GA : Moi, je ne peux pas donner d’infos. Je sais que la direction travaille pour une éventuelle reconduction. Je les laisse gérer, moi, je ne suis pas aux manettes de ça.
SBB : Depuis 2 ans, vous êtes le présentateur de l’émission « L’Équipe de Greg », en quoi votre émission est différente de celle d’Estelle Denis ?
GA : Estelle avait posé de très belles bases avec tout son talent et tout son savoir-faire. L’idée, c’était surtout de ne pas tout casser pour plaisir de casser par ego. Quand le travail est bien fait, il faut savoir le reprendre donc je me suis appuyé sur une base très solide. On a changé des choses essentielles, le décor par exemple, c’est quelque chose qui m’intéresse. On est en after school donc je voulais des couleurs qui ressemblent à ce que moi, je regardais gamin donc Le Prince de Bel Air, Parker Lewis, Giga. Quelque chose qui sonne très 90’s. Je voulais que les gens s’identifient à ça, ceux qui nous regardent peuvent avoir cet âge-là. Avoir quelque chose de frais, de joyeux parce que les journées sont suffisamment longues… quand vous quittez votre boulot vous n’avez pas envie de voir un programme chiant. Ça, j’y tenais beaucoup. Ensuite, je voulais deux jeux par émission et pas qu’un seul quand on a le temps. Je voulais passer par le divertissement. J’ai élargi un peu la bande de chroniqueurs. Je voulais des débats plus courts mais plus rythmés… J’aime que ce soit très structuré mais que ça bouge dans tous les sens. C’est une très grande rigueur pour s’amuser à l’antenne. Je pense que j’ai tiré encore plus l’émission vers le divertissement. Je dis souvent qu’Olivier Ménard, ce génie, fait du foot à la télévision avec L’Équipe du soir, moi j’ai les avants matchs et j’ai plutôt tendance à dire que je fais de la télé autour du foot. C’est une formule que j’aime bien utiliser.
SBB : Et on sent que ce ne sont pas les mêmes émissions…
GA : Mon objectif était de différencier très nettement les deux émissions. Je voulais une émission sport et entertainment, « infotainment » comme on dit aujourd’hui. Une émission que l’on peut regarder les pieds sur la table en se disant « je vais me marrer, je vais retrouver mes potes qui vont débattre de sujets que j’ai débattu tout à l’heure à la machine à café ». On souhaite être très sérieux avec des compétences autour de la table et en même temps, nous ne sommes pas là pour inventer le football. Ça, c’est très important !
« La Coupe du Monde 2022 ? C’est possiblement le mois professionnel le plus exaltant de ma vie ! »
SBB : Les téléspectateurs semblent être au rendez-vous.
GA : Oui, je suis très content ! La Chaîne L’Equipe est une chaîne commerciale et on regarde la part d’audience sur cible. On est en très nette progression et on l’est encore plus cette année. Avec la Coupe du Monde 2022, mais aussi hors période de mondial. L’émission ne fait que progresser, que ce soit le nombre de téléspectateurs, la part d’audience et le score sur cible, même si c’est un peu barbare ça compte beaucoup. Je suis très heureux parce que ça récompense notre travail.
SBB : Comment avez-vous vécu cette Coupe du Monde 2022 en tant que présentateur ?
GA : Franchement, c’était génial ! Faudrait vraiment être blasé et sacrément triste dans sa tête pour ne pas se réjouir d’un tel événement. Moi, je bossais 6 jours sur 7 à L’Équipe, ce qui me faisait un 7 sur 7 parce que mon jour de repos ne tombait évidemment absolument pas le week-end, mais ça, ce n’est pas grave. C’était un mois d’une intensité folle, on cavalait dans tous les sens. On regardait les matchs, on débriefait, on était dans une énergie, dans un mouvement perpétuel. Il y avait des émissions quasiment toute la journée et tout le monde était tiré par cette envie d’offrir aux téléspectateurs les meilleurs debriefs, les meilleurs avants-matchs, les meilleures analyses. En plus, on a eu la chance d’avoir les Bleus en finale. J’ai fait l’émission le lendemain… je n’étais pas très heureux à l’antenne, je ne vais pas me cacher alors que j’étais très triste. Mais ça a été un mois commend dire, c’est possiblement le mois professionnel le plus exaltant de ma vie !
SBB : Est-ce que vous avez atteint vos objectifs avec les 2 émissions sur 2 sujets que vous aimez et comment voyez-vous votre avenir professionnel ?
GA : Je comprends cette question, mais je ne sais pas. Si la question, c’est « est-ce que tu signes 10 ans à ce rythme-là ? », physiquement, faudra que je vois quand même (rires). On est sur un rythme un peu puissant donc je ne peux pas répondre à ça. J’ai toujours des envies, pas d’autres choses mais peut-être complémentaires… ce qui est sur, c’est que je n’aime pas le mot aboutissement, ça veut tout dire et rien dire (rires). Ça fait 25 ans que je fais ce métier et il n’y a pas eu 25 années de succès, mais j’ai toujours pu travailler. Il y avait des périodes où je bossais moins. Il y a des hauts et des bas, c’est important de le savoir. Mais là aujourd’hui, je suis extrêmement heureux. J’ai conscience d’être un privilégié, je fais très attention à ne jamais être blasé. Parfois, le matin, c’est fatigant, mais quand je suis sur mon scooter, je me dis, « c’est chouette, tu vas réveiller les gens ». Parfois le midi, je me dis « ah, je dormirai bien, mais non ! C’est génial, les gens, ils rentrent, ils sont fatigués et toi, tu vas les faire sourire, tu vas les informer ! ».
« J’ai conscience d’être un privilégié, je fais très attention à ne jamais être blasé«
SBB : Sur notre site, on parle beaucoup de l’actualité des marques dans le sport. Est-ce qu’il y a une publicité qui vous a marqué dans le football ou dans le sport en général ?
GA : J’ai parlé de mon amour de l’Amérique et j’ai toujours adoré les pubs Nike. Celle par exemple avec Bo Jackson, joueur de football américain et de baseball.
Il y a également les publicités Jordan, les spots du Super Bowl, les pubs Rolex avec Federer et celles avec le golf… je les trouve très belles. J’adore la créativité que l’on retrouve dans la pub et c’est pour ça que j’ai fait un DUT publicité en me disant, « je vais m’amuser, je vais créer des slogans,… » Je peux aimer également des pubs avec des créations musicales, par exemple ce que faisait Richard Gotainer, c’était fou.
SBB : Finalement, vous préférez la radio ou la télévision ?
GA : Non mais ça, je ne peux pas répondre. En dehors de ma femme et de mes enfants, la radio, c’est l’amour de ma vie. La radio, j’en fais depuis toujours. En fait, j’ai toujours rêvé de faire de la radio. Depuis que je suis petit, j’écoutais les animateurs me réveiller. Je me disais « wouah ils font une matinale ! ». Ce sont des noms qui sont toujours là d’ailleurs. Ça peut être des Arthur, j’écoutais Doc et Difool quand j’avais 14 piges, aujourd’hui Difool, il est en matinale de Sky face à moi. J’écoutais Cauet, ils sont toujours là, mais ils ont commencé très jeune et je les écoutais au réveil donc je me disais « moi, je veux faire ça ! » Et j’ai eu la chance de faire ça ! J’insiste, j’ai bossé beaucoup pour ça. Il faut bosser, il faut croire en soi. La radio, c’est vraiment l’amour de ma vie. J’ai commencé sur une radio associative, puis sur la radio universitaire, puis sur une locale et puis sur une radio nationale. Il n’y a quasiment pas eu un jour sans radio depuis 25 ans dans ma vie en fait. Ça fait 25 ans que je vis grâce à la radio donc c’est vraiment mon histoire d’amour numéro 1.
La télé, j’aime beaucoup, mais je n’ai pas aimé tout ce que j’ai fait au point de me dire « wouah ! C’était fantastique ! ». Tout ce que j’ai fait, je l’ai aimé parce que je l’ai choisi, j’ai refusé des choses qui ne me plaisaient pas. Par exemple, après le Bachelor, on me proposait beaucoup d’émissions de dating, mais je ne m’y retrouvais pas. J’ai fait ça pour découvrir un barnum important, à l’époque, c’était l’émission la plus chère de la TNT. C’était fantastique d’avoir une telle opportunité, avec un tel groupe, une telle exposition, mais moi, je ne voulais pas faire de dating. J’adore ce que je fais en télévision aujourd’hui, j’ai cette liberté avec ce talk, le fait que cette émission me ressemble et qu’on me laisse une chance folle d’être libre de ce que je veux faire sur l’antenne. Franchement, ça, c’est le plus fou ! Donc faire de la télévision dans ces conditions, c’est un bonheur !
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