Partenaire officiel de la Ligue de Football Professionnel (LFP), Betclic parie sur l’agence Lafourmi pour sa campagne de communication autour de la Ligue 1 Uber Eats et Ligue 2 BKT.
« Les matchs de la Ligue 1 Uber Eats deviennent beaucoup trop intenses avec Betclic ». Telle est la promesse que fait Betclic à travers son dernier spot publicitaire lancé mi-août décliné en 30s et 15s.
Diffusé sur Canal +, sur Téléfoot ainsi que les réseaux sociaux, le film montre des personnages prêts à vivre avec passion la Ligue 1 Uber Eats grâce à Betclic.
Une vidéo qui vous rappellera certainement l’ambiance visuelle (restaurant kebab) et sonore de la publicité « The Flow » de Puma sortie l’année dernière. Une campagne menée également par l’agence Lafourmi utilisant le même sample de DJ SNake.
En plus de ce spot vidéo pour Betclic, l’agence Lafourmi a également conçu 4 billboards TV de 8 secondes, une campagne d’affichage, l’univers graphique utilisé sur les prises de parole liées au partenariat, ainsi qu’un dispositif RP et social media pour la reprise du championnat.
https://twitter.com/Betclic/status/1300840849866194950
Le « betting » devenu cool et lifestyle grâce au marketing (et l’appât du gain)
Ces dernières années, le betting semble avoir réussi son « pari » de dépasser et toucher le simple passionné de sport.
A coup de campagnes marketing percutantes, le paris sportif en ligne (« Betting ») s’inscrit comme une activité du quotidien avec une véritable approche lifestyle visant un public beaucoup plus large. Certes, l’attrait du gain d’argent en quelques clics reste la motivation première mais parier semble être devenu tendance, une sorte d’acte social qui permet de vivre des émotions, bien souvent en communauté.
COVID-19- L’effondrement des paris sportifs en ligne
Impacté de plein fouet par la crise sanitaire du COVID-19 et la suspension arrêt de la quasi-totalité des évènements sportifs majeurs, le secteur des paris sportifs en ligne a enregistré une baisse de 57% des mises jouées au 2ème trimestre 2020 VS 2019 avec 513 millions d’euros.
Au total, le Produit Brut des Jeux (PBJ) des opérateurs s’est élèvé à 94M€ sur cette période, soit une baisse de 56% par rapport à 2019. Le recul du chiffre d’affaires des opérateurs a atteint 87% sur la période de confinement. Le nombre de comptes joueurs actifs sur l’activité a reculé de 36%
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