« Pourquoi pas eux ? » – Découvrez Cédric Doumbé !

crédit : « The Circle » – Netflix

 

« Pourquoi par eux ? »

Nouvelle rubrique Sport Buzz Business en partenariat avec l’agence Com’Over et son département Talents, nous mettons ici l’accent sur des athlètes qui nous ont séduits par leurs parcours, leur histoire, sur et en dehors du terrain ; et qui représentent, selon nous, un potentiel intéressant pour les marques !

Qui suis-je ?

Cédric Doumbé, 27 ans, Franco-Camerounais, kick-boxer en poids welters. Champion du monde avec 73 victoires,43 KO, 6 défaites et 1 nul.

Mes faits d’armes sportifs ? VICTOIRES

Je suis le premier combattant français à avoir remporté la ceinture du Glory (championnat international de kickboxing) à seulement 24 ans et le seul français à l’avoir remporté 5 fois. Je suis reconnu comme le numéro 1 toutes catégories de poids confondues

J’ai beaucoup fait parler de moi pour ma victoire contre l’ancien champion de notre catégorie, Nieky Holzken (néerlandais), devant 20 000 personnes chez lui et invaincu jusque-là.

Mes enjeux sportifs sur les prochaines années ?

Aujourd’hui je suis le meilleur combattant de kickboxing au monde.

Mon objectif pour les prochaines années : être le meilleur combattant toute discipline confondue en Mixed Martial Arts (MMA) en décrochant le titre de l’Ultimate Fighting Championship (UFC). Je me suis fixé un objectif, celui de passer du kickboxing au MMA, de détrôner le champion et ainsi devenir le premier français à performer en passant du Kickboxing au MMA. Jusqu’à ce jour, jamais un combattant en kickboxing de ma catégorie n’a réussi en MMA, à performer et à devenir champion. Cela ferait de moi le meilleur combattant de tous les temps.

« Devenir le premier français à performer en passant du Kickboxing au MMA »

Les caractéristiques qui me sont propres ?

Quand on pense à Cédric Doumbe on a le sourire aux lèvres, donc je dirais tout d’abord l’humour qui fait partie intégrante de ma personnalité. Ensuite, la détermination mais aussi la modestie et le respect. En tant que sportif de haut niveau et surtout dans mon domaine où l’entertainment tient une place prédominante avec le trashtalk (provoquer son adversaire lors ou entre les compétitions sportives) autour d’un combat, les gens ont tendance à penser que je ne respecte pas mes adversaires. Non seulement je respecte mes adversaires mais je respecte aussi leur travail et tous les acteurs autour de ce sport. Le respect est pour moi la valeur primordiale. Etant donné que je suis le champion des champions je dois incarner cette valeur.

Je m’adapte et je transforme ce qui peut m’arriver de négatif en positif.
Par exemple : J’ai un préparateur physique et une diététicienne mais je n’ai pas d’entraîneur, je n’en ai jamais eu depuis que je suis pro. J’ai toujours été un électron libre et j’ai appris à gérer seul. Ce qui est très rare dans mon domaine. A la base ce n’était pas un choix mais une fatalité, mais je me suis adapté et j’ai fait de cette faiblesse une force. J’ai été chercher et développer mes atouts lors de voyages pour acquérir le savoir dont j’ai besoin pour décrocher cette ceinture de champion du monde. Demain, si je décide de prendre un entraîneur, je ne suis même pas sûr d’en trouver un qui me comprenne.

Mes valeurs ?

Sans hésiter les valeurs familiales, c’est ce qui m’anime au quotidien.
Dans ma famille on dit beaucoup que je suis très difficile à vivre car j’ai ce sens des valeurs qui est très fort. Avec moi il n’y a jamais d’entre deux, soit c’est tout blanc ou tout noir. J’aime quand les choses sont carrées. C’est en partie dû à mon éducation mais aussi surtout à mon parcours de vie.

Mes passions au-delà du kickboxing/MMA?

Avant d’être un boxeur je suis comédien. C’est ma passion. J’ai fait beaucoup de théâtre quand j’étais au lycée. Aujourd’hui si on me propose de tout lâcher pour une carrière dans le cinéma, je le fais. J’ai déjà joué dans des courts métrages : « triangle » réalisé par Louis Thierry Eva (pas encore sorti) un plus ancien qui s’appelle « ultra son » réalisé par MAY BOUHADA .

C’est ce que j’ai toujours voulu faire de ma vie, être comédien, faire du cinéma et mon truc à moi c’est l’humour. J’aime bien jouer la « comédie », interpréter un personnage, jouer un rôle. Je suis fasciné par les rôles difficiles.

D’ailleurs je fais du stand-up et je participe à un événement d’éloquence qui s’appelle Tchatch qui est reporté au 29 septembre 2020. Le stand up pour moi c’est jouer la comédie, c’est interpréter un personnage comme en kickboxing, ça rappelle aussi le côté sport individuel (seul sur scène) et je m’autogère, je suis libre d’interpréter qui je veux comme dans mon sport où en conférence de presse par exemple où je joue la comédie. J’ai besoin de ça pour être.

« Avant d’être un boxeur je suis comédien […] Aujourd’hui si on me propose de tout lâcher pour une carrière dans le cinéma, je le fais. »

Comment je vois mon après-carrière ?

Dans le cinéma, le théâtre ou l’entertainment. Mais je ne me bride pas. Pourquoi pas même commencer maintenant, pendant ma carrière ? C’est quelque chose auquel je réfléchis. J’ai d’ailleurs participé à une émission sur Netflix « the circle game » qui est sortie le 9 avril.

Mes réseaux sociaux / ma communauté ?

Je suis très investi. J’aime m’occuper de mes réseaux sociaux et je le fais avec plaisir. Ça me plaît d’interagir avec ma communauté. Aujourd’hui j’entretiens une communauté de plus de 100 000 followers et je suis aussi conscient du fait que cela fait partie du job. Dans mon sport, l’entertainment prend une place importante au storytelling. Je m’amuse en partageant ma vie, mes passions et en dévoilant ma personnalité. J’ai une personne qui me donne des conseils sur comment s’occuper de mes réseaux mais aujourd’hui je gère mon image seul.

https://www.instagram.com/p/B-9Yl1vqZUG/

Ma vision du sponsoring pour les athlètes ?

J’ambitionne un rapport hyper proche avec les sponsors. Je ne veux pas juste un sponsor pour gagner de l’argent. J’ai envie de construire une relation. Je veux qu’on associe mon nom à une marque que j’ai choisie et qui me correspond. Par exemple, quand je pense à Under Armour, je pense à Anthony Joshua (boxe) et versa, et je trouve ça positif. Je veux faire partie de la famille.

Mes exemples / best practices en termes de sponsoring ?

Anthony Joshua et Under Armour, le partenariat et les valeurs partagées font sens mais j’aime bien aussi Floyd Mayweather qui lui est une vraie machine sponsoring mais qui sait y faire. Il s’est créé un vrai personnage. On va dire que je me retrouve un peu dans ces deux boxeurs. Je suis modeste et droit quand il le faut et extraverti et fou quand l’opportunité se présente et que cela peut m’apporter. Pour moi, un sponsoring qui marche au-delà du fait que le sponsor doit matcher les valeurs de l’athlète, c’est un partenariat qui permet au sportif de créer des opportunités allant au-delà du sport.

Pourquoi moi ?

Pourquoi un sponsor voudrait s’associer à moi ? pour toutes les valeurs que je représente : réussite, détermination, ambition, confiance en soi.

Mais plus encore, je suis conscient de l’influence que j’ai grâce à ma plateforme. J’ai envie de l’utiliser à bon escient avec des marques qui non seulement partagent les mêmes valeurs que moi mais qui me permettent aussi d’œuvrer réellement pour les causes qui font sens pour moi et qui me permettent de mettre à profit mes capacités, mon influence de façon positive. Une marque aujourd’hui ne doit pas seulement se pencher sur les valeurs d’un sportif mais doit aussi se retrouver dans ses engagements de société.


Si vous êtes un annonceur, que vous souhaitez en savoir plus sur Cedric et discuter d’un éventuel partenariat, contactez-nous : LIEN workwithcedricdoumbe@gmail.com

Si vous êtes un athlète, que vous souhaitez vous aussi candidater pour avoir votre profil mis en valeur dans cette rubrique, contactez-nous : LIEN elise.bouala@com-over.com

 

 

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