Le rugbyman néo-zélandais Dan Carter a vu son contrat de sponsoring avec Land Rover rompu suite à un contrôle en état d’ivresse.
La semaine dernière, le joueur du Racing 92 était contrôlé à Paris avec un taux d’alcoolémie supérieur à 0,8 gramme par litre de sang. Le rugbyman s’était excusé sur les réseaux sociaux au lendemain du contrôle. Excuses acceptées en partie par ses followers, moins par certains de ses sponsors.
C’est ce lundi que le joueur a déclaré sur les réseaux sociaux qu’après entretien avec Land Rover, la décision de mettre fin au contrat avait été prise. La petite histoire ne dit cependant pas si le All Black était au volant d’un modèle de la marque.
Dan Carter a commenté sa sanction toujours sur les réseaux sociaux « Sans surprise, Land Rover, qui pour de bonnes raisons a une tolérance zéro concernant la conduite en état d’ivresse, a mis fin à sa relation avec moi. Je le comprends complètement et je suis déçu de les avoir mis dans cette position.»
Quand les « affaires » nuisent aux contrat sponsoring des athlètes
Les marques le savent bien. En sponsorisant un athlète, elles s’attachent son image dans les bons comme dans les mauvais moments, vie privée (qui l’est de moins en moins avec la surmédiatisation des stars du sport) comprise…
Avec cette fin de contrat avec Land Rover, Dan Carter n’est pas le premier sportif à voir un sponsor quitter le navire après une « affaire » portant indirectement atteinte à son image.
L’année dernière, la tenniswoman russe Maria Sharapova a vu plusieurs des ses sponsors prendre leurs distances suite à un contrôle anti-dopage positif. On peut également citer Nike et Lance Armstrong ou encore Nikola Karabatic et Betclic…
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