photo : Infinity Nine Media
Ce matin, l’Olympique Lyonnais a officialisé son arrivée en tant que sponsor maillot des équipes de basket de LDLC ASVEL. Une visibilité accordée au club de Ligue 1 qui entre dans le cadre du rapprochement capitalistique entre les deux clubs initié cet été.
Depuis cette semaine, le logo de l’Olympique Lyonnais est présent sur les maillots de LDLC ASVEL. Pour respecter une harmonie dans le design des jerseys portés par Edwin Jackson et ses coéquipiers, le logo OL est floqué en noir et blanc. Dans le détail, le logo OL est présent sur la face avant du maillot Jeep Elite de LDLC ASVEL au niveau de la pocket gauche, en dessous de DCB. Pour LDLC ASVEL Féminin, OL sera visible sur la face avant du maillot en Championnat de France et dans le dos du maillot d’EuroLeague Women.
« Nos liens avec LDLC ASVEL et LDLC ASVEL Féminin vont bien au-delà d’une prise de participation capitalistique » précise Thierry Sauvage, Directeur Général de l’Olympique Lyonnais, dans un communiqué. « Tony Parker est un formidable ambassadeur de la marque OL qui a su porter sa notoriété à l’international et accompagner le groupe dans l’atteinte de ses objectifs, en contribuant notamment largement à la réflexion sur le projet de franchise féminine aux USA et les discussions en cours avec le Reign FC de Seattle. Nous sommes heureux aujourd’hui de renforcer et réaffirmer notre soutien aux équipes de LDLC ASVEL et LDLC ASVEL Féminin. Nous sommes convaincus qu’en activant l’ensemble des synergies entre nos marques, les valeurs de parité avanceront sur tous les terrains. »
L’OL sponsor maillot, du déjà vu
Pour rappel, l’OL s’était déjà affiché sur un maillot d’un sport autre que le football. En 2016, l’Olympique Lyonnais était devenu Partenaire Majeur du club de hockey sur glace du LHC. Depuis, le club qui évoluait en Ligue Magnus a stoppé ses activités. La SASP a été liquidée par le tribunal de commerce de Lyon il y quelques semaines alors que la Fédération Française de Hockey sur Glace (FFHG) a pointé un passif de 390 000 euros.
©Stéphane GUIOCHON
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