Le 1er janvier dernier, ASICS est devenu le nouveau partenaire de la Fédération Française d’Athlétisme, un contrat de de quatre ans qui associe la marque japonaise et la FFA, au titre de partenaire et d’équipementier officiels, jusqu’aux Jeux de Rio en 2016. Après avoir signé avec le tennisman français Gaël Monfils, le début d’année est chargé pour l’équipementier. Ce nouveau partenariat a été présenté vendredi dernier au showroom parisien de la marque, en présence notamment d’Alistair Cameron, PDG d’ASICS Europe, Didier Dreulle, PDG et fondateur d’ASICS France, et Bernard Amsalem, président de la Fédération Française d’Athlétisme.
Alistair Cameron, Didier Dreulle et Bernard Amsalem,
Au titre d’équipementier officiel de la FFA, ASICS habillera les équipes nationales dans toutes les disciplines de l’athlétisme. Sur la piste, bien sûr, mais également hors stade, du marathon au trail, en passant par la marche, le cross ou la course en montagne. « Par sa présence au plus haut niveau sur tous les terrains de l’athlétisme, la FFA constitue un modèle unique qui nous a beaucoup séduits », a déclaré Alistair Cameron. « ASICS s’est imposée comme une marque de référence, particulièrement compétitive pour les athlètes d’élite et dans la recherche, sur l’ensemble de l’offre de l’athlétisme. Cette approche très large de la discipline nous est commune, elle nous tenait à coeur« , a expliqué Bernard Amsalem.
Une délégation de cinq de ses athlètes avec Antoinette Nana Djimou, Adrianna Lamalle, Christophe Lemaitre, Yohann Diniz et Samuel Coco-Viloin a fait le voyage vers Kobe, au Japon, siège mondial de la marque. Un séjour organisé du 6 au 10 janvier 2013, au cours duquel ces cinq « éclaireurs » ont pu découvrir de l’intérieur l’entreprise japonaise, sa culture, son histoire, ses méthodes, et surtout son goût pour la recherche et l’innovation.
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« Malgré mon long passé au plus haut niveau, je n’avais jamais encore eu l’occasion d’être sollicité et mis à contribution pour l’amélioration d’un produit », a reconnu Yohann Diniz. Quant à Christophe Lemaitre, invité une première fois à visiter les lieux en janvier 2011, il s’est dit « pleinement satisfait » d’un séjour où l’accueil des employés de la marque japonaise à été « chaleureux, familial et plein de respect ».
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