Alors que le magazine VESTIAIRES vient tout juste de fêter ses 5 ans, Julien Gourbeyre, son fondateur et directeur, nous parle de la stratégie du 1er magazine francophone consacré aux éducateurs et entraîneurs de football. Un support de référence qui réunit à ce jour près de 12 000 abonnés en France et à l’étranger ! Sur le digital, vous pouvez suivre VESTIAIRES via le site web vestiaires-magazine.com ou sur les réseaux sociaux Twitter, Facebook ou encore Instagram !
« L’avantage d’arriver directement dans les foyers »
SportBuzzBusiness.fr : Rappelez-nous, en quelques mots, le concept éditorial de VESTIAIRES.
Julien Gourbeyre : L’idée de départ était de faire de la presse autrement, en mettant de côté la matière première que représente l’actualité du haut niveau, ses stars, pour proposer un magazine utile, au contenu pédagogique et pratique. À chaque numéro, des conseils sont prodigués par des experts issus de différents domaines tels que l’entraînement, le management, la préparation physique, la stratégie, la santé, le domaine juridique, etc…
SBB : Pourquoi diffusez-vous uniquement sur abonnement ?
J.G. : Pour marquer notre différence justement, et souligner le côté très spécialisé et premium de VESTIAIRES.
SBB : Combien d’abonnés à ce jour ?
J.G. : Près de 12 000 dont 80% en France, pour un peu plus de 30 000 lecteurs.
SBB : A qui s’adresse principalement le magazine ?
J.G. : A tous ceux qui encadrent d’une équipe de football, quel que soit le niveau ou la catégorie. Mais aussi à ceux qui dirigent un club ou une section sportive scolaire. Plus généralement, à tous les acteurs du football amateur.
SBB : Pas d’entraîneur professionnel ?
J.G. : Si, bien sûr. Tous les coaches de Ligue 1 et de Ligue 2 lisent VESTIAIRES ! Ils sont abonnés personnellement ou souscrivent un abonnement pour le staff. Il y a aussi tous les centres de formation où la revue est très attendue et appréciée…
« L’atout du publirédactionnel pour notre partenaire annonceur est de pouvoir raconter une histoire, tout en faisant passer son message… »
SBB : Comment sont vos relations justement avec les pros ?
J.G. : Elles sont excellentes. Les entraîneurs nous accueillent à bras ouverts car ils savent qu’avec nous, ils vont parler de football et de rien d’autre… La relation est telle que nous sommes sans doute les seuls à ne jamais passer par les services de presse pour obtenir une interview. C’est un privilège, une marque de confiance, et un gain de temps !
SBB : Et ces entraîneurs signent des articles dans le magazine !
J.G. : Oui, c’est la grande valeur ajoutée de VESTIAIRES d’un point de vue éditorial. Un magazine fait par les techniciens pour les techniciens. Parmi nos intervenants les plus prestigieux et récurrents, on peut citer Christian Gourcuff, Frédéric Antonetti, Jean-Marc Furlan, Guy Lacombe, Elie Baup, Frédéric Hantz, Raynald Denoueix…
SBB : Qui sont vos partenaires aujourd’hui ?
J.G. : Des équipementiers sportifs, des éditeurs de logiciels d’entraînement, des organismes de formation, des fédérations sportives… et plus généralement toute marque intéressée par le profil de notre lectorat, comme le Crédit Agricole, par exemple, qui s’investit dans le football depuis de nombreuses années et qui est chez nous un partenaire de la première heure.
SBB : Quels avantages pour l’annonceur qui communique dans VESTIAIRES ?
J.G. : D’abord, en tant que pure player, VESTIAIRES n’a pas d’équivalent en France pour toucher directement l’éducateur/entraîneur de football, premier prescripteur de son sport auprès des enfants, des adolescents et de leurs parents. Par conséquent, pour l’entreprise qui choisit de valoriser sa marque chez nous, c’est l’assurance de savoir auprès de qui elle communique, vraiment. C’est l’avantage aussi d’arriver directement dans les foyers, ou dans les clubs. L’opportunité également, sur la durée, de pouvoir marteler un message auprès de mêmes personnes, ce qui explique que la majorité de nos partenaires s’engagent sur un an. Le privilège enfin d’augmenter la durée de vie de l’annonce, VESTIAIRES étant un magazine destiné à être conservé, avec un fort taux de circulation et de prise en main.
« Permettre à la marque qui nous accompagne de mettre ses produits entre les mains des utilisateurs »
SBB : Quels sont les dispositifs que vous proposez aux annonceurs intéressés par votre audience ?
J.G. : Il y a l’insertion pub, naturellement, mais aussi – et c’est de plus en plus courant – la volonté de raconter une histoire par le biais d’un publirédactionnel, tout en faisant passer un message… Une manière de communiquer intelligemment qui prend tout son sens dans VESTIAIRES eu égard au taux de lecture qui est le nôtre par rapport aux médias « traditionnels ».
SBB : Que voulez-vous dire ?
J.G. : A l’inverse des autres titres de la presse football, qui cherchent à « ratisser large », 100% de notre contenu est spécialement conçu pour un lectorat type. Aussi, sans aller jusqu’à dire que nos abonnés lisent tout de A à Z, ils s’arrêtent sur chaque page, parce que tout les concerne ! VESTIAIRES n’est pas une revue qui se feuillette. Et ça, ça fait une grosse différence.
SBB : Et en dehors de la vente d’espaces publicitaires ?
J.G. : Lorsqu’un partenaire accepte de s’engager avec nous sur la durée, nous mettons en place un certain nombre d’actions, d’opérations, lui permettant non seulement de communiquer directement auprès de nos abonnés, mais de toucher une communauté plus large. Nous créons de la viralité sur nos réseaux sociaux via des relais d’informations ou des jeux-concours, nous permettons également à la marque de mettre ses produits entre les mains des utilisateurs, que ce soit dans le cadre de tournois ou d’autres évènements sportifs. Enfin, nous lui donnons accès à notre base de données de façon à proposer des ventes flash et autres offres promotionnelles en circuit fermé. Cela confère un côté « privilège » à nos abonnés, qui dope le taux d’ouverture, l’attractivité de l’offre et donc son efficacité.
Laisser un commentaire