La semaine dernière, PUMA a annoncé l’arrivée du sprinter canadien Andre De Grasse comme nouvel ambassadeur.
« Puma m’a fait une offre que je ne pouvais refuser », a précisé De Grasse à CBC depuis Los Angeles. « Je vais simplement dire que je suis très content du montant que je reçois. Je suis même effrayé à l’idée d’aller au lit ce soir parce que je ne veux pas me réveiller ailleurs qu’ici. Je n’arrive pas à croire que tout ça est vrai. »
Doyle Management, l’agence qui s’occupe des intérêts d’Andre De Grasse a précisé à The Canadian Press que le contrat pluriannuel était d’environ 11,25 millions de dollars. Avec les différents bonus, l’athlète pourrait toucher jusqu’à 30M$.
En signant un contrat sponsoring avec le jeune canadien, successeur de Donovan Bailey et Bruny Surin, PUMA semble bien préparer l’après Usain Bolt en contrat jusqu’à l’année prochaine (minimum de 10M$/an ?). Le sprinter jamaïcain poursuivra-t-il après les JO de Rio 2016 ? Une fois sa carrière terminée, « la foudre » se verra-t-elle proposer un nouveau contrat d’ambassadeur ?
Sur la piste, Andre De Grasse, médaille de bronze sur 100m lors des derniers Championnats du Monde de Pélin, compte bien s’inscrire parmi les meilleurs sprinters des 10 prochaines années.
From fast to #ForeverFaster. Welcome to the PUMA team, @De6rasse. pic.twitter.com/jQ5LugpCNt
— PUMA Running (@PUMARunning) December 4, 2015
De son côté, PUMA ajoute un nouvel athlète à sa team d’ambassadeurs « athlétisme » déjà constituée de Bolt, Asafa Powell ou encore la pétillante Michelle Jenneke. Récemment, c’est le français Pierre-Ambroise Bosse, spécialiste de demi-fond, qui s’est engagé jusqu’en 2020. Un contrat de partenariat qui en ferait le 3ème plus lucratif au plan national derrière Renaud Lavillenie (Nike) et Christophe Lemaitre (Asics).
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