Avec un chiffre d’affaires record de 176,9 millions d’euros sur l’exercice 2011-2012, plus de 3 millions de visiteurs mensuels uniques sur ses 7 sites internet, LDLC.com est leader de l’informatique et du high-tech sur internet.
Cette année, LDLC devient Partenaire Majeur de l’ASVEL. Un première pour le groupe dans le sponsoring sportif. Interview d’Olivier de la Clergerie, Directeur Général de LDLC.
Pourquoi LDLC s’est lancé dans le sponsoring aux côtés de l’ASVEL ?
Olivier de la Clergerie : C’est la première fois que nous sommes sponsor d’un club de sport. Nous cherchions à la fois quelque chose d’accessible financièrement mais surtout un club avec une ambiance familiale, un club avec lequel nous pourrions nous retrouver en terme d’image, un club avec la volonté de construire. Le basket est encore un sport accessible, les joueurs sont proches. Il y a cette ambiance familiale importante pour nous et qui correspond aux valeurs que nous cherchons à promouvoir au sein de l’entreprise. Le choix de l’ASVEL s’est imposé naturellement.
Comment se concrétise votre partenariat avec l’ASVEL ?
ODLC : Trois éléments principaux caractérisent notre partenariat avec l’ASVEL. Nous sommes présents sur la face avant du maillot et notre logo est également présent dans le rond central de l’Astroballe. Enfin nous avons une présence sur les panneaux LED. Nous ferrons également des activations sur le web en direction des fans. Avec notre présence sur le maillot, nous cherchons de la notoriété évidemment, mais nous cherchons également à associer notre image à celle du club.
LDLC.com partage le devant du maillot avec une autre marque, Alptis. Est-ce gênant ?
ODLC : Ce n’est pas gênant, ça fait partie du mode de fonctionnement de l’ASVEL. Aujourd’hui nous ne souhaitons pas faire le kidnapping de l’ASVEL (rires). La visibilité de LDLC est bonne, nous l’avons activé avec d’autres éléments donc ce n’est pas gênant pour nous qu’une autre marque soit présente sur la face avant du maillot. Nous ne nous disons pas que cela permet de minimiser une facture, l’ASVEL fonctionne comme ça.
Quel est le montant de votre investissement dans ce partenariat avec l’ASVEL ?
ODLC : Nous en restons aux chiffres de l’ASVEL. Le club possède trois Partenaires Majeurs dont LDLC fait parti et le budget moyen d’un Partenaire Majeur est de 200 000€. L’ASVEL, c’est une histoire. Tony Parker est dans le capital, il fait parti des dirigeant de l’ASVEL et il écrit l’histoire avec les autres. Nous avons réfléchi à un partenariat avec l’ASVEL avec l’ensemble des données qui font la vie d’un club et Tony Parker fait parti de l’ASVEL. Sa présence a forcément joué dans notre décision mais elle ne se réduit pas à une personne.
« Si nous voyons que notre sponsoring avec l’ASVEL rempli bien son rôle il n’est pas impossible que nous travaillions sur d’autres types de sponsoring. »
Pourriez-vous vous engager aux côtés d’autres clubs ?
ODLC : Nous avons une couverture nationale via LDLC.com, avec une attache à notre région Rhône Alpes. Maintenant, le sport est un moyen de communication et permet de partager des valeurs. Si nous voyons que notre sponsoring avec l’ASVEL rempli bien son rôle il n’est pas impossible que nous travaillions sur d’autres types de sponsoring. Aujourd’hui, ce n’est pas d’actualité mais ce n’est pas interdit non plus. Le sponsoring est un bon moyen de communication pour travailler une identité, faire comprendre qui nous sommes et partager des valeurs.
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