Avec plus de 1 000 entreprises partenaires et 700 sportifs, Sponsorise.me se place comme leader sur son marché. Un marché dans lequel la jeune entreprise se positionne en tant que plateforme de mise en relation entre sportifs et entreprises, avec l’objectif pour les premiers de disposer de ressources financières et pour les seconds d’associer leur image à un champion.
Ce n’est pas les récentes nominations parmi le top 10 des start-up de l’année 2011 par FrenchWeb et Challenges, ou encore les 50 deals en cours qui vont stoppés le développement de l’entreprise dirigée par Loïc Yviquel. En effet, à l’occasion des prochains JO de Londres 2012, Sponsorise.me vient de signer un partenariat avec HEC qui consiste à « confier » 30 athlètes à 30 étudiants de deuxième année de la sélecte école de commerce. Ces jeunes auront la lourde tâche d’aider les sportifs dans leur quête aux sponsors via un pack « Pari-Londres » comprenant les droits d’image d’un sportif, les relations presse ainsi que les places pour les compétitions. Un pack accessible à partir de 15 000 euros.
Mais la principale nouveauté chez Sponsorise.me, c’est Sponsorise Influence. En s’appuyant sur la force des réseaux sociaux – un top 50 sportifs français qui capitalise pas moins de 8 millions de « like » sur Facebook et près d’1,5 millions « followers » sur Twitter – il est le seul acteur à pouvoir garantir un effet volume tant aux annonceurs qu’aux sportifs.
Ainsi, Sponsorise.me surfe sur la synergie qui existe entre notoriété, leaders d’opinion, médiatisation et communautés pour mettre à disposition une offre entreprise aussi bien online qu‘off-line avec le placement de produit et de l’event par exemple.
Les sportifs, quant à eux, bénéficient d’un audit, d’une activation avec la création et l’optimisation de leur univers digital puis d’un développement de leur image via ces médias sociaux.
Un service qui ne va pas passer inaperçu à l’approche des Jeux Olympiques 2012 de Londres. Où comment s’attacher l’image d’un futur champion olympique pour seulement 15 000 euros ! Avis aux chefs d’entreprise …
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